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 Hetepheres

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Hetepheres Taharqa
Architecte
Hetepheres Taharqa
⊱ Parchemins : 13
⊱ Localisation : Arkania Nord
⊱ Humeur : égale

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MessageSujet: Hetepheres   Hetepheres EmptyJeu 24 Déc - 10:26




Hetepheres Taharqa


feat. Aidan Turner


Identité


Hetepheres At3110
Race: Rasetsu
Age: 1603 ans
Orientation sexuelle: Hétérosexuel
Situation familiale: Célibataire endurci, un père vivant quelque part dans le monde
Lieu de vie: Arkania Nord, dans une maison en face de la Bibliothèque
Groupe d'appartenance: Peuple
Fonction ou métier: Architecte
Possédez-vous un humain ? Non

Physique: Se fondant dans la population masculine Rasetsu autant par la taille que par la musculature de prédateur et ne possédant aucune caractéristique mythique et rare, on le reconnaît plus souvent aux boucles noires qui encadrent son visage et la cicatrice qui barre le côté gauche de celui-ci. La seule qu'il ne peut pas cacher facilement, contrairement à celle qui traverse ses reins et la trace de morsure qui orne sa cuisse droite. Ayant gardé de bons réflexes sur le plan martial et ne boitant plus malgré les dommages encore importants, il conserve une légère faiblesse dans cette jambe qui peut se manifester quand il reste trop longtemps debout.

Personnalité


Comme tout prédateur habitué à l'efficacité, il est du genre calme, patient et discret. Il n'élève jamais la voix, il n'est pas là pour ça de toute façon, et il ne fait pas partie de ceux qu'on remarque dans une foule. Et la petite sieste d'un millénaire n'a fait qu'accentuer cette tendance. Il n'est pas du genre expansif, préférant le silence de sa maison ou de la Bibliothèque aux fêtes de certains quartiers, et se consacre presque entièrement à son métier avec plaisir. Il ne cherche pas vraiment le contact de ses congénères sans pour autant les repousser, tout en choisissant plus souvent le rôle d'observateur silencieux.

Depuis son accident de chasse, il a une phobie des cowolums qui peut lui causer des crises de panique, chose qu'il essaie de combattre en observant ceux dressés pour l'armée. Mais il choisira toujours de faire un long détour plutôt que d'en croiser un. Autre conséquence de l'accident, les cicatrices qu'il a toujours du mal à assumer et cette faiblesse si dangereuse qu'il cache le plus possible. Rares sont ceux qui ont pu apercevoir l'avancée réelle de sa guérison, y compris parmi ses plus proches.

Bien qu'étant assez solitaire, il a un caractère plutôt agréable et aime débattre sur tous les sujets, juste pour le plaisir, tout en étant assez inflexible sur certains détails. Par exemple, il déteste qu'on l'appelle Hetep, Heres, ou tout autre diminutif d'ailleurs, étant très fier de son nom et de sa famille. Et comme sa famille avant lui, il est fidèle à leur dirigeant, mais plus que tout à son peuple et son avenir. Il pense d'ailleurs qu'une alimentation humaine modérée et un bon traitement des humains, qu'ils servent de gibier ou non, serait profitable aux siens. Une opinion qu'il tait cependant, conscient qu'elle n'est pas très appréciée en ville.

Lui-même préfère consommer de la viande animale la plupart du temps, ne satisfaisant sa réelle faim que lorsque c'est vraiment nécessaire. Sang s'il a besoin d'énergie rapidement, viande pour la durée de cette dernière. Il traite très bien ses proies toujours volontaires, leurs familles reçoivent aussi une compensation financière, et préfère donner la mort rapidement et sans douleur plutôt que dans la violence et le chaos. Pour autant il comprend tout à fait les comportements plus emportés et joueurs de ses congénères et est tout à fait d'accord avec la place qu'occupe actuellement sa race dans la chaîne alimentaire.

Outre la viande animale et humaine, son alimentation comporte aussi une bonne dose d'alcool. Peu importe lequel, il a juste besoin d'endormir certaines cicatrices un peu trop lourdes certains soirs, en même temps que ses émotions les plus fortes. Il pourrait largement tenir tête aux soûlards les plus aguerris de son peuple, s'il ne préférait pas picoler seul à l'abri chez lui.

Histoire


we each survive
in our own way
Sa proie ne l'avait pas repéré, tapi dans les broussailles à quelques mètres à peine. Lentement il banda ses muscles, près à fondre et porter le coup fatal. Sa main se resserra autour de sa lance, son cœur battait plus vite, et enfin il bondit. Mais il n'était pas le seul à avoir jeté son dévolu sur le cerf. Son crâne avait heurté durement le sol alors qu'une masse pesante s'abattait sur lui. Il avait vu les griffes s'approcher de son visage, énormes et tranchantes comme des lames, puis une partie de son champ de vision s'était couvert de rouge.

Il était né quelque part entre les montagnes et les plaines arides, sans pouvoir dire où exactement, dans un clan nomade oublié aujourd'hui. Quatre à cinq familles, rarement plus, qui en formaient une grande où chacun avait une place précise. Y compris ceux ayant des faiblesses imprévues et dangereuses dans leur monde, mais chaque vie a son utilité. Une vision que son père défendait avec fierté. Il s'occupait de la gestion et de l'organisation de leur groupe sous les ordres du chef de la petite tribu, leur famille ayant toujours eu cette place discrète mais efficace auprès des dirigeants. Non pas pour un quelconque apport de pouvoir, mais pour aider le groupe, lui permettre de survivre dans ce monde plus souvent dangereux qu'accueillant.

Il n'avait jamais connu sa mère, morte quelques jours après sa naissance, et avait été élevé par son père et les autres membres du groupe. Il avait découvert très jeune que sa cicatrisation était beaucoup plus lente que celle de mes congénères, un handicap considérable pour celui qui veut combattre et chasser aux côtés de ses frères, mais il avait appris à composer avec cette faiblesse. Et il était devenu un prédateur efficace, préférant les attaques rapides et mortelles aux longs combats, évitant de se mesurer directement à sa proie. Des années et des siècles d'apprentissage qui se transformèrent en expérience, qu'il avait cru suffisante.

Il essuya le sang d'un revers de la main et repoussa la bête de toutes ses forces, assez pour se remettre debout et s'éloigner de quelques pas. Mais ce n'était suffisant, et la bête revenait sur lui. S'élançant, il chercha à planter sa lance là où la chair était plus tendre, plus vulnérable, pour sentir le bois se briser entre ses doigts alors qu'il tombait en avant et que le cowolum sautait sur son dos, plantant ses griffes dans son épaule, les débris de sa lance tombant plus loin.

La vision rouge de sang et de douleur, il tentait d'attraper la pointe, rampant dans la poussière aussi vite qu'il le pouvait. Deux mâchoires se serrèrent d'un coup, la sienne pour ne pas hurler alors que l'autre se refermait sur sa cuisse. L'énorme molosse secouait sa jambe comme si elle n'était qu'un vulgaire chiffon, ses dents s'enfonçant toujours plus dans sa chair, ses griffes entaillant la peau à sa portée. Il eut l'impression que son cœur allait céder en sentant le bas de son dos s'ouvrir, une seconde fois lorsque les dents de l'animal trouvèrent l'os. Mais on ne tue pas aussi facilement un Rasetsu.

Ses doigts trouvèrent finalement la pointe de la lance et il la plongea d'un geste vif, plusieurs fois, dans la chair à sa portée. Il y eu un jappement aigu, la chaleur d'un sang qui n'était pas le sien sur sa peau, et la pression sur sa cuisse se relâcha. Assez en tout cas pour qu'il se relève, plus en équilibre sur sa jambe valide que réellement debout, menaçant le cowolum qui avait reculé. Il sentait son propre sang couler sans aucune retenue tandis que l'encolure de l'animal se teintait de rouge. Les deux se jaugèrent, estimant les forces de l'autre. Un assaut et c'était terminé, quel que soit le vainqueur.

Le métal de la pointe s'enfonça plus profondément dans sa paume, coupant les chairs alors qu'il affermissait sa prise, ignorant les tremblements de plus en plus insistants de son corps. Mais la bête avait trouvé nettement plus intéressant et s'éloigna pour achever l'autre proie agonisante, son regard perçant toujours sur lui. Il n'aurait pas d'autre chance de s'en sortir, et sa vie valait bien plus que celle d'un cerf. Reculant d'abord lentement, il s'assura de mettre plusieurs mètres entre lui et le carnassier avant de tourner le dos et disparaître aussi vite qu'il le pouvait.

Le retour au camp n'était qu'un flou de sang et de ténèbres, seule la sensation de la lame dans sa main le poussant à avancer toujours un peu plus. Il était tombé de nombreuses fois, avait perdu conscience plusieurs autres, le sang engluait sa peau et coulait dans sa gorge, mais il avait fini par revenir auprès des siens, la lueur lointaine du feu guidant ses derniers pas. On l'avait retrouvé aux portes de la mort à quelques mètres du camp, la pointe de lance serrée dans son poing, s'accrochant à la voix de son père pour ne pas sombrer définitivement avant qu'un soigneur arrive.

a time to tear down
and a time to build
Son regard balaya le camp agité pour finalement se poser sur une silhouette isolée dessinant au sol à l'aide d'un grand bâton. Sculpté, il en aurait mis sa main à couper. Se frayant un chemin à travers les nouveaux arrivants, il observait l'homme à mesure qu'il s'approchait. Les mêmes boucles noirs qui volaient au vent, les mêmes yeux sombres et perçants, la même peau bronzée par le soleil, mais la sienne était lisse... Et c'était bien son bâton qui servait de crayon. Quelques pas et il se posta silencieusement derrière lui, attendant qu'il finisse, tâchant d'oublier le tremblement dans sa jambe. Ignorant le bruit et les mouvements autour d'eux, il étudiait le plan que son père traçait dans le sable. La nouvelle organisation du camp pour s'adapter à sa taille grandissante.

Des familles isolées d'abord, puis des groupes plus conséquents, ils étaient aujourd'hui une cinquantaine de familles, tous guidés par la même idée: se joindre à Arkos. Et ils étaient près du but, malgré les divers changements dans la hiérarchie et le camp. Les chefs s'étaient succédés, les Taharqa n'avaient pas bougés et continuaient leur gestion efficace du camp, pour le bien de leur peuple. Une place pour tous, comme son père lui rappelait souvent. Celui-ci lui tendit finalement le bâton dont il s'empara avec un léger soupir. Une place pour tous, même les plus faibles. Sa main gauche se crispa sur le bois, l'autre descendant pour masser légèrement sa cuisse.

Le premier réveil avait été confus et bref, trop épuisé pour même formuler un mot. La douleur empirait, la fatigue aussi, et il avait sombré quelques secondes plus tard. Une errance de plusieurs jours pour finalement réussir à ouvrir un œil. Puis la douleur revint, implacable. Il avait survécu, mais dans quel état... Et pour combien de temps? Combien de temps avant qu'on décide qu'il était un poids pour le groupe? Sa mâchoire se crispa, déclenchant un incendie dans son visage, soulevant ce qui devait être un onguent. Pas le seul, il pouvait en sentir beaucoup d'autres, en plus des bandages. Et en dessous, les preuves encore sanglantes de son combat avec le cowolum.

Une large plaie barrait son visage en passant dangereusement près de son œil gauche pour s'achever dans son cou, profonde et douloureuse à la moindre expression. D'autres traversaient ses reins, rejoignant les nombreuses lignes sur son dos et ses bras. Trois points sanglants sur son épaule, une plaie presque refermée sur le côté du crâne. Sa main semblait divisée en deux par le passage de la lame, mais sa jambe était pire. La gravité et l'étendue des dommages sur tout son corps freinait considérablement sa guérison déjà ralentie par d'anciennes blessures.  Les chairs labourées de morsures de sa cuisse prenaient du temps à cicatriser et l'empêchèrent de se tenir debout pendant de longues années, suivis de décennies à boiter et devoir s'aider d'un bâton pour marcher.

Il revint à la réalité lorsqu'un groupe passa près d'eux, des chasseurs vu leurs armes, et les avait suivi du regard, à défaut de pouvoir les accompagner. Il ne s'y faisait toujours pas. Combien de temps depuis qu'il s'était réveillé avec un corps à moitié déchiqueté? Trop, pas assez, mais au moins il avait pu continuer d'aider son camp, sa famille. À défaut de pouvoir reprendre sa place, il en avait trouvé une autre en apprenant à seconder son père. Il aimait ce qu'il faisait, mais le frisson de la chasse lui manquait et il enviait ceux qui pouvaient courir dans la nature, qui pouvaient encore sentir le sang chaud sur leurs mains... S'avançant enfin aux côtés de son père, il effaça une partie du plan et en dessina une légère variation en changeant juste quelques détails, surveillant du coin de l’œil les réactions sur son visage si expressif.

Une autre différence depuis qu'il était revenu de cette chasse, les plaies le forçant à rester le plus calme et inexpressif possible. Et lorsque les blessures s'étaient enfin refermées, il en avait perdu l'utilité. Traçant d'une main sûre dans le sable, il prit un moment à vérifier qu'il n'avait rien oublié, ses doigts glissant contre les reliefs qu'il avait sculpté dans le bois, avant de le tendre à son père. Lui qui l'avait poussé à graver tout ce qui lui passait par la tête plutôt que de ruminer sur son infirmité temporaire des années auparavant, avec la pointe qui lui avait sauvé la vie. Il n'en avait plus vraiment besoin et comptait marcher définitivement sans quand ils atteindraient enfin Arkos et les siens, mais ce n'était pas qu'un simple bout de bois. Une promesse aussi. Celle qu'un jour il serait à nouveau fort, capable de rejoindre ses frères sous les ordres de leur futur Roi, pour le bien de leur peuple. Et les mages comprendraient enfin où se trouvait la place des Rasetsus.

i don’t do sober anymore
sober hurts
Il était affamé, sa jambe le faisait souffrir, son crâne menaçait d'exploser. À quand remontait son dernier repas réellement efficace? S'effondrant dans le fauteuil, il leva les yeux au plafond. Il aurait même été incapable de dire quel jour on était exactement, ou même si la pleine lune approchait. Depuis combien de temps exactement son père était-il retourné à la vie sauvage? Des années, des décennies peut-être... Au bout d'un moment il avait arrêté de réellement compter. Faisant tourner une bouteille vide entre ses mains, son regard se posa finalement sur les plans étalés sur la table inclinée qui lui servait de bureau, les croquis et les notes sur le carnet qu'il avait laissé ouvert. Un projet, un autre, pour s'occuper l'esprit. Et de l'alcool pour endormir le reste.

C'était comme ça depuis le départ de son père, quelques années après les premières bases d'Arkania. Pourtant les projets d'Arkos l'intéressaient et ils avaient aidé à la construction de la Cité jusqu'à devenir des architectes efficaces et plutôt réputés. Ils avaient vu leur race retrouver sa place, mais ça ne suffisait plus. La nature lui manquait, la solitude et le silence aussi. Un matin il avait fait ses adieux à son père, l'avait accompagné jusqu'à la porte du rempart nord et avait observé sa silhouette s'éloigner. Jusqu'à ce qu'elle se confonde avec l'horizon. Il comprenait son départ, un jour peut-être il le reverrait. Et il avait repris son travail avec un peu plus d'acharnement qui confinait à l'obsession certains soirs où l'absence pesait trop.

Il tendit la main vers la coupe posée à même le sol, vide, comme la bouteille abandonnée près du pot à crayons pas loin. Et les deux posées sur la grande table couverte de feuilles et livres l'étaient depuis longtemps. Plus rien à boire, le feu dans son ventre qui brûlait de plus belle, il n'avait plus le choix. S'appuyant sur les accoudoirs, il se leva lentement et retint un grognement de douleur en transférant la plupart de son poids sur sa jambe gauche. Un pas après l'autre, sa main s'enroulant autour de l'anse d'une amphore ouvragée alors qu'il passait à côté. Celle que son père lui avait offert quand il avait évoqué une nouvelle façon de se nourrir. Tendant l'oreille, il suivit en silence la faible mélodie qui venait du couloir, la lumière vacillante de la bougie qui passait par les interstices du bois. Il ouvrit lentement la porte de ce qui avait été la chambre de son père, souriant à la jeune fille qui s'y trouvait.

Jeune, surtout comparé à la créature millénaire qui l'avait nourrie et soignée pendant plusieurs jours. Fragile, surtout entre ses mains. Si colorée... Le bleu de ses grands yeux, le rouge discret sur ses joues et son discret sourire, la longue chevelure blonde qui cascadait sur son dos nu alors que sa tunique tombait au sol. Oh elle était très belle, mais il n'était là pour ça et elle le savait. Une main se posa sur le cou fin, l'autre passa lentement dans ses cheveux soyeux et un baiser se posa sur le sommet de son crâne alors qu'elle laissait échapper un bref soupir. Le dernier, suivit d'un craquement sinistre. Le geste avait été rapide, mortel, et bientôt toute chaleur quitterait ce corps qu'il installait sur le lit. Il récupéra l'amphore qu'il avait laissé sur le pas de la porte, entailla le poignet et laissa le sang s'écouler lentement, observant la fine ligne rouge jusqu'aux dernières gouttes. Et le silence était revenu dans la maison.

Sans un regard en arrière, il récupéra l'amphore, passa près du bureau en saisissant la coupe au passage, et ouvrit la plus grande fenêtre. S'installant dans l'encadrement, dos contre le mur et l'amphore posée à portée de main, il leva les yeux sur le ciel étoilé qui surplombait Arkania. Il s'était adapté à ce nouveau mode de vie, son père avait préféré l'ancien. Le long sommeil avait permis de guérir au moins une cicatrice, à défaut d'effacer les autres. Il avait enfin compris qu'il ne pourrait plus jamais être un chasseur, que les longues errances étaient terminées. Et il s'était tourné vers une méthode plus douce, plus respectueuse des vies qu'il prenait, en accord avec cette nouvelle vie.

Un verre, puis un autre, comme il l'avait fait plus tôt dans la soirée, même méthode mais boisson différente. L'incendie dans son ventre se calma, comme ses maux de crâne, et il sentait déjà l'énergie revenir. Encore quelques verres à profiter de la vue, des odeurs et des bruits qui lui parvenaient des alentours, un autre alors qu'il s'emparait d'un parchemin vierge, un nouveau en le déroulant sur son bureau par dessus l'ancien. Sa coupe retrouva le sol et s'empara d'un crayon qu'il aiguisa rapidement sur la pointe usée d'une lance avant de la poser sur le rebord du bureau. Une autre nuit passée à corriger avec application plans et structures dans le silence serein, une parmi tant d'autres depuis qu'il vivait à Arkania.

Qui se cache derrière l'écran ?



Prénom et/ou Pseudonyme sur les autres sites: InkFingers en général
Age: 27 ans
Présence: régulière
Comment avez-vous connu ce forum: via PRD
Quelque chose à dire ?: Quelqu'un a une bonne recette d'humain aux marrons pour les fêtes?



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Dernière édition par Hetepheres Taharqa le Dim 27 Déc - 1:48, édité 10 fois
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Anémone Atzis
Administratrice - Princesse de la cité
Anémone Atzis
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⊱ Localisation : Au palais de mon père

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MessageSujet: Re: Hetepheres   Hetepheres EmptyJeu 24 Déc - 19:26
Bienvenue à toi Hetepheres !

Je suis heureuse de te compter parmi nous !
Si tu as un problème, n’hésite pas à me contacter, je serai ravie de t'aider :005:

Et désolée, je ne connais pas de recette d'humain aux marrons. La cuisine et moi, ça fait deux...
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Anémone Atzis
Administratrice - Princesse de la cité
Anémone Atzis
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⊱ Localisation : Au palais de mon père

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MessageSujet: Re: Hetepheres   Hetepheres EmptyDim 27 Déc - 8:28
Hetepheres... Que te dire ?
Tu es acceptée avec succès ! La fiche que tu as fait de notre architecte est vraiment superbe ! J'ai pris beaucoup de plaisir à la lire et j'ai hâte de le voir évoluer !

Bienvenue dans l'aventure ! :000:
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MessageSujet: Re: Hetepheres   Hetepheres Empty
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